mémoire
concentration
liens familiaux…
motricité
langage
Lorsque les premiers symptômes apparaissent,
la maladie progresse parfois depuis 10
ou 15 ans
de façon silencieuse et invisible.
Plus nous pourrons la détecter tôt, plus nous
pourrons l’empêcher de se développer !
Mariés pour le meilleur et pour le pire, nous voici confrontés à l’épreuve de la maladie d’Alzheimer, après 30 ans de bonheur. Cela a commencé par des « petits symptômes » comme des oublis, des rendez-vous manqués… Puis tout s’est accéléré et le diagnostic a été posé. C’est difficile car la maladie le coupe progressivement de ceux qui l’aiment, nous qui sommes une famille unie. S’il n’existe pas de traitement « miracle » aujourd’hui, il faut croire en la recherche et la soutenir car on peut tous être frappés.
Françoise, épouse de Pierre, 66 ans, atteint de la maladie d’Alzheimer
Pr Kaj Blennow,
scientifique de renommée mondiale
et l’un des leader mondiaux de la recherche sur les biomarqueurs de la maladie d’Alzheimer, a choisi de rejoindre pour 3 ans, l’équipe d’experts des Drs Marie-Claude Potier et Stéphane Haïk de l’Institut du Cerveau afin de développer une collaboration prometteuse contre cette maladie.
Pr Kaj Blennow, scientifique de renommée mondiale et l’un des leader mondiaux de la recherche sur les biomarqueurs de la maladie d’Alzheimer, a choisi de rejoindre pour 3 ans, l’équipe d’experts des Drs Marie-Claude Potier et Stéphane Haïk de l’Institut du Cerveau afin de développer une collaboration prometteuse contre cette maladie.
de montrer la corrélation entre les taux de biomarqueurs et les mécanismes cérébraux de la maladie ;
déterminer si ces biomarqueurs reflètent l’état pro-inflammatoire des cellules immunitaires cérébrales.
*Programme financé grâce au soutien de la Fondation Recherche Alzheimer, financeur principal du projet, par la Fondation Claude Pompidou et par la Fondation Sorbonne Université Chaire AXA soutenue par le Fonds AXA pour la Recherche.
Les chercheurs visent à déterminer pour chaque stade de la maladie, le taux des biomarqueurs dans le liquide céphalo-rachidien et le sang, afin de franchir un cap décisif pour :
mieux comprendre les mécanismes biologiques à l’origine des lésions cérébrales ;
stratifier et intégrer dans les essais cliniques le bon patient au bon moment ;
tester de nouvelles molécules ciblant les processus qui dysfonctionnent.
Les chercheurs visent également à identifier de nouveaux biomarqueurs pour améliorer la précision et la précocité du diagnostic, et donc intervenir avant l’apparition des symptômes par un suivi soutenu et de nouvelles thérapies.
Dr Marie Claude Potier,
Directrice de recherche
à l’Institut du Cerveau (CNRS)
« L’Institut regroupe des scientifiques de la recherche fondamentale,
de la recherche clinique, et des cliniciens en charge de soins.
Il possède des infrastructures technologiques de très haut niveau.
Tout cela donne un environnement unique et très attractif : il n’y a
pas beaucoup d’endroits dans le monde où l’on peut trouver toutes
ces forces dans un seul bâtiment. »
Pr. Bassem Hassan,
Directeur scientifique de l’Institut du Cerveau
votre don finance 4 axes
de recherche pour :
Prévenir
C’est-à-dire retarder l’arrivée
des premiers symptômes.
Soulager
C’est-à-dire atténuer ou supprimer les symptômes tels que la perte de mémoire, les troubles du langage, la douleur, l’angoisse…
Réparer
C’est-à-dire reconstruire les zones endommagées après une atteinte du système nerveux.
Guérir
C’est-à-dire trouver des traitements efficaces pour stopper l’évolution de la maladie
