mémoire

concentration

liens familiaux…

motricité

langage

Lorsque les premiers symptômes apparaissent,
la maladie progresse parfois depuis 10 ou 15 ans
de façon silencieuse et invisible.

Plus nous pourrons la détecter tôt, plus nous
pourrons l’empêcher de se développer !

« Maman est atteinte de la maladie d’Alzheimer… »

Ces mots de mon père pour m’annoncer la terrible nouvelle résonnent encore en moi. Après le choc, il faut être forts pour affronter le quotidien et les craintes. J’ai peur de voir la maladie effacer peu à peu ses souvenirs, qu’un jour elle ne me reconnaisse plus, qu’elle oublie le prénom de mes enfants qu’elle aime tant, qu’elle perde sa joie de vivre… Et puis j’ai peur d’être touchée, moi aussi, lorsque j’aurai son âge. Pour apaiser ces peurs et garder espoir, je soutiens les chercheurs de l’Institut du Cerveau.
En leur donnant les moyens d’avancer, ils remporteront le combat !

Armelle, fille d’une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer

Maladie
neurodégénérative
la plus fréquente
en France

3 millions
de personnes concernées (patients et proches)

2x plus
de patients estimés
d'ici 20 ans

1 nouveau cas
diagnostiqué toutes
les 3 minutes
(soit 225 000 nouveaux
cas par an)

Maladie
neurodégénérative
la plus fréquente en France

3 millions
de personnes concernées (patients et proches)

2x plus
de patients estimés
d'ici 20 ans

1 nouveau cas
diagnostiqué toutes
les 3 minutes
(soit 225 000 nouveaux
cas par an)

La maladie d’Alzheimer et toutes les maladies du cerveau sont des enjeux de santé publique majeurs.
Pour les combattre, les chercheurs de l’Institut du Cerveau sont mobilisés et ont besoin de votre soutien.

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et accélérez la recherche sur le cerveau !

80€ 150€ 300€

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3 axes de recherche pour 1 objectif :
faire reculer la maladie d’Alzheimer

Face à la maladie d’Alzheimer, les chercheurs de l’Institut du Cerveau
ont entamé une véritable lutte contre le temps, sur tous les fronts.
Les équipes pluridisciplinaires suivent une stratégie qui vise à :

C’est en réussissant à déterminer les mécanismes biologiques à l’origine des dysfonctionnements cérébraux dans la maladie d’Alzheimer, que nous pourrons prendre en charge les patients le plus tôt possible, de façon ciblée et personnalisée.

C’est en parvenant à déceler les processus cérébraux qui dysfonctionnent chez des personnes sans symptôme que nous pourrons identifier celles qui développeront demain la maladie d’Alzheimer.

C’est en allant plus loin dans nos recherches que nous pourrons développer des thérapies capables de freiner l’installation de symptômes irrémédiables et un jour, stopper le processus dégénératif.

La mémoire épisodique concerne nos souvenirs avec un contexte spatio-temporel spécifique. « Dans quel restaurant ai-je dîné il y a 3 semaines ? Avec qui ? Qu’ai-je mangé ? »
Cette mémoire est touchée de façon très précoce et progressive dans la maladie d’Alzheimer.

Les experts de la plateforme de neuroimagerie magnéto
et électro-encéphalographique (CENIR MEG-EEG) à l’Institut du Cerveau avec l’IM2A (Institut de la mémoire et de la maladie d’Alzheimer), ont développé et validé un test pour évaluer la présence de légers déficits de la mémoire épisodique.
Il permettrait de mettre en évidence des troubles légers jusqu’à 4 ans avant le diagnostic établi de la maladie d’Alzheimer. Étude réalisée chez près de 300 personnes asymptomatiques, financée par la Fondation Recherche Alzheimer.

Nous avons montré chez les participants ayant développé la maladie, des anomalies de l’activité électrique associée à la mémoire épisodique dans le cerveau. Ce résultat nous donne l’espoir d’un diagnostic plus précoce et donc d’une meilleure prise en charge.

Nathalie George, chercheuse CNRS à l’Institut du Cerveau

Au sein de chaque cellule de notre organisme se trouve un compartiment particulier, l’endosome, dont le rôle est de trier les molécules entrantes et sortantes de la cellule.

L’équipe co-dirigée par Marie-Claude Potier à l’Institut du Cerveau a montré que l’endosome des cellules de peau était plus volumineux chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer, en particulier ceux présentant une démence.

La présence de ces spécificités de l’endosome est associée à la présence des lésions cérébrales caractéristiques de la maladie et à un déclin cognitif plus rapide des patients. Par ailleurs, nous avons identifié trois facteurs de risque génétiques de développer la maladie, associés à cette morphologie spécifique des cellules de la peau.

Marie-Claude Potier, chercheuse CNRS à l’Institut du Cerveau.

L’endosome des cellules de la peau pourrait donc être un biomarqueur diagnostic et prédictif de l’apparition d’une démence dans la maladie d’Alzheimer.

Dans la maladie d’Alzheimer, l’agrégation de la protéine Tau dans le cerveau est en partie responsable de la mort des neurones et de l’apparition des symptômes de la maladie.

Un essai thérapeutique de phase 1 coordonné par le Dr Nicolas Villain, en collaboration avec 3 pays européens, est en cours pour évaluer la capacité de l’oligonucléotide NIO752 à limiter la production de protéine Tau dans le liquide céphalorachidien des patients atteints de maladie d’Alzheimer.

Avec ce traitement, notre objectif est de diminuer la quantité de protéine Tau pour ralentir voire stopper la formation de ses agrégats dans le cerveau. Nous espérons ainsi limiter la mort de neurones et le développement des troubles les plus handicapants. Les résultats de notre essai devraient être connus en 2025.

Dr Nicolas Villain, neurologue AP-HP et chercheur à l’Institut du Cerveau.

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Au sein de chaque cellule de notre organisme se trouve un compartiment particulier, l’endosome, dont le rôle est de trier les molécules entrantes et sortantes de la cellule.

L’endosome des cellules de la peau pourrait donc être un biomarqueur diagnostic et prédictif de l’apparition d’une démence dans la maladie d’Alzheimer.

Dans la maladie d’Alzheimer, l’agrégation de la protéine Tau dans le cerveau est en partie responsable de la mort des neurones et de l’apparition des symptômes de la maladie.

Au sein de chaque cellule de notre organisme se trouve un compartiment particulier, l’endosome, dont le rôle est de trier les molécules entrantes et sortantes de la cellule.

L’endosome des cellules de la peau pourrait donc être un biomarqueur diagnostic et prédictif de l’apparition d’une démence dans la maladie d’Alzheimer.

Dans la maladie d’Alzheimer, l’agrégation de la protéine Tau dans le cerveau est en partie responsable de la mort des neurones et de l’apparition des symptômes de la maladie.

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